Je me souviens que j’ai appris le concept d’immigration à l’école à l’âge de 9 ans :
« Quand l’hiver arrive, les oiseaux migrent vers un endroit plus chaud, pour une vie meilleure ». C’est ce dont je me souviens.
De nos jours, le mot migration a un sens différent. Parfois, l’acte d’immigration est la recherche d’un meilleur environnement pour vivre, comme pour les oiseaux. Parfois, on doit migrer juste pour survivre et, parfois, cela n’implique pas de mouvement physique.
C’est, pour moi, quand on commence à se connaître soi-même, un soi meilleur, un nouveau soi-même ! Et c’est là que l’on commence à vivre avec cette personne renaissante.
Peu importe ce que vous choisissez, il faut payer pour la douleur et les défis qui l’accompagnent. Il faut laisser beaucoup de choses en arrière pour en recevoir seulement une, une « vie meilleure ». Cependant, êtes-vous certain de cette meilleure vie ? Vaut-elle la douleur ?

I remember I learned about the concept of the immigration at school at age 9 “when the winter arrives, the birds migrate to a warmer place for the better life” this is what I remember.
In today’s world, the word migration has a different meaning to it. Sometimes the action of immigration is to seek a better environment to live in like the birds. Sometimes you have to migrate just to survive and sometimes there are no physical movements involved.
That to me is when you start getting to know yourself, the better you, your new self! And you start living with that new born person.
No matter which one of the above you choose, you must pay for the pain and challenges that come with it. You have to leave a lot of things behind to just receive one thing and that is the “better life”. However, are we sure about the better life? Is it worth the pain?